Notre histoire
Historique de notre Association.
30 anniversaire de ARVATRA. Achèvement de la construction du R+1. 19 Février, accueil à son siège d’un invité de marque : Sa Majesté Dr Djomo Kamga Honoré Roi de Bandjoun et Sénateur au Parlement de Cameroun. Une grande première.
Relance de la construction R+1 du siège de l’Association
Sortie de l’imprimerie de l’ouvrage commencé en 2005. Elle sera dédicacée au public lors des « TROISIEMES JOURNEES ARVATRA» organisées cette année-là du 12 au 15 Janvier
Le 18ème anniversaire de l’ARVATRA est marqué par deux événements importants :
- Création au sein de l’ARVATRA d’une nouvelle structure appelée I.A.C. (Mutuelle d’Investissement et d’Action Culturelle). Elle a principalement pour but d’accompagner les membres dans leurs projets d’autopromotion.
- Les recherches intellectuelles passent à une vitesse supérieure. L’Association lance officiellement un projet de publication d’un ouvrage d’histoire intitulé « LA LUTTE NATIONNALISTE AU CAMEROUN DE 1940 A 1971»
ARVATRA offre sa contribution à la phase exécutoire du PROJET D’AMENAGEMENT DU LAC MUNICIPAL DE DSCHANG
Après 4 années de dur labeur, ARVATRA intègre son « CENTRE DES CIVILISATIONS». Finies les réunions rotatives dans les domiciles. Le 2ème numéro des « ETUDES AFRICAINES » voit le jour.
Le 20 Août, une délégation de ARVATRA prend activement part à la cérémonie d’intronisation de Monseigneur André WOUKING sur le siège archiépiscopal de Yaoundé en sa qualité d’Archevêque métropolitain succédant à Monseigneur Jean ZOA, décédé le 20 Mars 1998. La même année, par résolution 43/99 l’ARVATRA manifeste fortement son intention d’être membre fondateur du projet Nantes-Dschang
Dès le mois de Janvier, ARVATRA entre en chantier avec le début des travaux de construction de son module.
ARVATRA a 10 ans. L’événement est célébré par l’organisation des « DEUXIEMES JOURNEES CULTURELLES ARVATRA »
ARVATRA publie son 2ème et dernier numéro de « TRADITIONS» et la remplacer par les « ETUDES AFRICAINES » dont le 1er numéro parait la même année.
ARVATRA inaugure sa 8ème année d’existence par la mise sur le marché du savoir de son premier numéro de la revue « TRADITIONS»
La signature du Décret présidentiel portant création de l’Université de Dschang offre à ARVATRA l’opportunité de faire connaitre ses ambitions citoyennes. Elles s’expriment à travers la publication de 2 Manifestes : le premier Manifeste intitulé « S.O.S. Université de Dschang » dit la position de ARVATRA sur la situation à l’Université de Dschang. Trois mois plus tard, en Novembre, ARVATRA se lance une fois de plus, par la même méthode, à la mise en circulation du 2ème Manifeste intitulé « Notre vision de l’Université de Dschang ». Par ces louables initiatives, ARVATRA veut inscrire ses actes dans la durée.
Le fait marquant de cette année est la décision de faire passer de UN à DEUX ans le mandat du Président. Après avoir rodé le mandat d’un an, les membres se sont rendus compte de ce que cette brièveté ne permettait pas à un président de construire à bien et efficacement un projet. Il est donc décidé que le mandat sera de 2 ans. 5 Présidents ont fait l’expérience du mandat d’un an : il s’agit dans l’ordre de : Pr Joseph DJOUKAM, Dr Samuel NZIETCHUENG, Luc TEMGOUA, Pr Joseph TCHOUMBOUE, Joseph OUAFO. Maurice DONGMO aura le privilège d’inaugurer le mandat de deux ans.
Quatre ans seulement plus tard, commence véritablement à se traduire en actes, les glorieuses ambitions qui ont fondé la naissance de l’Association. Elles se matérialisent par trois faits historiques :
- Acquisition d’un terrain devant abriter le siège
- Organisation des « PREMIERES JOURNEES CULTURELLES ARVATRA »
- Lancement général des travaux de construction du « CENTRE DES TRADITIONS » ARVATRA prend son envol
C’est en cette année de grâce que cette association sort des fonds baptismaux avec comme mission de « RÉHABILITER» les valeurs que charrient les Traditions socioculturelles Bamiléké. Selon le Professeur Joseph DJOUKAM, c’est au tout début des années 80 que le jeune et dynamique Dr FOTZO TAGNE Pascal, fraîchement rentré des États-Unis émet l’idée de la création d’un cercle de réflexion autour de ce projet. Sa brutale disparition en Janvier 1987, va servir de déclic à la mise en œuvre de ce projet. Un groupe d’Universitaires au nombre desquels Samuel NZIETCHUENG, François KAMAJOU, Joseph TCHOUMBOUE, Jacob FOKO, KAMWA, TEMGOUA et Joseph DJOUKAM se chargent de donner vie à ce « bébé culturel » auquel les géniteurs donneront le nom de « Association pour la Réhabilitation de Valeurs TRAditionnelles » en abrégé ARVATRA